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Les belles femmes ont-elles plus de chance dans la vie ? (Oui... et non)

12 sept. 2024

7 min de lecture

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Beaucoup de gens se plaignent du fait que les femmes semblent avoir la vie en mode "facile"... Je vais d'ores et déjà nuancer : les JOLIES femmes ont en moyenne une vie plus facile. Partons aujourd'hui dans une dissertation de type “thèse/antithèse” garantie sans namedropping de philosophe.

OUIIIIII…….

... Les belles et jeunes femmes ont la vie en mode facile...

Nous allons très froidement répondre à pourquoi c’est vrai :

1 : L’effet de Halo.

L'effet de halo est un biais cognitif qui se produit lorsque l'évaluation positive (ou négative) d'une caractéristique d'une personne, d'un objet ou d'une situation influence notre perception d'autres caractéristiques. En d'autres termes, si nous avons une impression positive sur un aspect, cela tend à améliorer notre jugement sur d'autres aspects, même s'ils ne sont pas directement liés.

**Exemple :** Si une personne est physiquement attrayante, on pourrait inconsciemment la juger plus compétente, sympathique ou intelligente, même si ces qualités ne sont pas forcément corrélées à l'apparence physique.

Le terme a été introduit par le psychologue Edward Thorndike en 1920, à partir d'études sur l'évaluation des soldats par leurs supérieurs.

- Une caractéristique dominante (comme l’apparence, la célébrité ou une première bonne impression) peut créer un "halo" autour de la personne ou de l’objet, influençant le jugement global.

- À l’inverse, l'effet de halo peut être négatif, appelé alors effet "corne du diable" (ou effet de diable), où une perception négative d'une caractéristique altère également la perception globale.

L'effet de halo est particulièrement important en marketing, recrutement ou dans les interactions sociales, car il peut biaiser les jugements.

Vous comprenez aisément comment il s’applique ici : on va prêter aux jolies femmes des qualités sans s’assurer qu’elles les détiennent.

2 : L’avantage qu’elles apportent en s’associant à vous :

C’est un fait : une jolie femme fait bonne impression dans le salon, à votre bras en soirée, ou sur le siège passager d’une belle voiture, surtout si sa robe est assortie aux sièges en cuir. Ne me regardez pas comme ça, ce n’est pas moi qui ai inventé le terme de “femme trophée”, je ne fais que rapporter les faits.

Certains hommes avec qui j’ai pu travailler ont été formels : une jolie femme à vos côtés augmente votre cote sociale. Elle est mise en avant sur Instagram à défaut de pouvoir l’être sur un CV.

La conséquence : la beauté d’une femme devient une monnaie d’échange, et par extension, sa compagnie aussi. Une femme se retrouve donc récompensée pour “être” : être belle, être intéressée, être souriante, être charmante, être un objet de convoitise. Et sur le marché de la relation, le prix de sa beauté peut varier d’un menu Best Of Big Mac sauce deluxe, à toute une vie de cours de Pilates et de smoothies au concombre. (Pour info, j’ai fait estimer mon patrimoine physique personnel : je peux m’en tirer avec un menu gourmet chez Bistrot Romain et des vacances à Jonquiera, c’pas mal). Vous qui me lisez, soyez honnête : avez-vous l’impression d’acheter la “compagnie” d’une femme quand vous l’invitez à dîner ?

À titre personnel, je considère que payer pour la compagnie ou les faveurs sexuelles d’une femme (qui n’en a pas fait son métier) est un très mauvais calcul. Car vous dépensez aussi votre temps, votre énergie, et elle est également censée apprécier vos prouesses à l’horizontale autant que vous, si elle est attirée par vous et que vous lui plaisez effectivement.

Mais pour résumer ma pensée, tant qu’il y aura des femmes qui troqueront ce qu’elles *ont* contre ce qu’une jolie femme *est*, oui, les belles femmes auront la vie plus simple…

3 : La protection dont elles bénéficient… y compris des conséquences de leurs actes.

Les séries américaines ont usé et abusé de la fameuse scène cliché de la jolie fille qui commet un excès de vitesse et qui se met à pleurer “sur commande” quand un policier lui demande des comptes. Et bien sûr, elle s’en sort sans répercussions. Et si elle ne s’en sort pas, c’est qu’elle n’est pas (ou plus) assez belle.

Dans la vraie vie, une femme mignonne peut susciter la protection en laissant entendre qu’elle n’est pas prête à affronter les obstacles qui se présentent à elle. Il lui suffit d’avouer son manque de capacité : elle ne sait pas formater son ordinateur, elle a peur des souris, sa formation en naturopathie ne lui a jusqu’ici pas apporté beaucoup de clients, ce qui la met en difficulté financière… Et si elle est suffisamment adorable, elle trouvera forcément dans son entourage un ou plusieurs hommes pour pallier ces manquements. Et c’est “normal”, direz-vous, l’instinct de protection masculine est un sentiment très naturel et en soi une excellente chose…

MAIIIIIIISSS….

C’est là que mon sens de la transition extraordinaire entre en jeu…

Parce que cette capacité à se faire épargner des conséquences de ses actions ou de ses manques de compétences est une arme à double tranchant que je considère vraiment dangereuse pour les femmes qui n’ont pas conscience des limites de celle-ci.

Mais à quel prix ? Et jusqu'à quand ?

50 % de mes élèves en sessions individuelles sont obsédés par une "femme-enfant". L'une des caractéristiques de la femme-enfant est d'avoir "sa petite cour de prétendants ou papas de substitution" à disposition, souvent avec une rotation, des intérimaires et des remplaçants.

Ainsi, mon élève, quand il est amoureux d’une femme-enfant, se sent en concurrence avec tous les hommes qui gravitent autour de celle qui l'intéresse : son cousin qui la dépanne quand elle n'a nulle part où dormir, son meilleur ami avec qui elle a couché une fois, bourrée, il y a cinq ans, son ex avec qui ils partagent la garde de leurs enfants...

De plus, mon élève est souvent tombé dans le piège de s'investir auprès de cette femme ! Il lui a rendu de nombreux services, l'a sortie de situations dans lesquelles elle s'était mise elle-même, et il se sent piégé, condamné à continuer ce rôle de chevalier servant, avec de plus en plus d'amertume et de ressentiment envers elle.

Ce type de profil peut donner à un homme l'impression désagréable que même s'il refuse de se plier à ses caprices, il y aura toujours un autre "pigeon" pour le faire...

Mais croyez-moi, en tant que "femme-enfant repentie" : aucun cadeau n'est plus empoisonné qu'une cour de "yes-men".

Car là où un entourage aimant et désintéressé ose lui montrer ses erreurs et contradictions quand c'est nécessaire, personne dans sa horde de prétendants n'osera lui dire quand elle a tort ou qu'elle commet une erreur, car cela compromettrait (selon eux) leurs chances de voir un jour ce qu'il y a sous sa petite culotte. J'ai été cette jeune femme, et croyez-moi, je n'envie pas celles qui sont prises dans ce genre de dynamique après l'âge de 28 ans. Car les hommes qui les flattent et se plient en quatre ne les respectent pas (beaucoup) plus que les "fuckboys" qui ne les rappellent jamais. Ils les voient également comme des opportunités à conquérir... (là aussi, c'est mon expérience qui parle. Dans le cadre de mon travail, je vois des hommes décrocher la lune pour des femmes dont ils ne sont pas amoureux, simplement parce qu'ils n'aiment pas perdre).

"Little did they know" que ce sont précisément les hommes francs et honnêtes, qui ne se laissent pas marcher sur les pieds, qui obtiennent ce qu'ils veulent de la part des très belles femmes.

Parce qu’une femme belle ET intelligente comprend que ce sont les "canards" qui la maintiennent dans la médiocrité et lui donnent l'impression que tout lui est dû, dans l'illusion qu'elle est une héroïne de comédie romantique qui fait tourner des têtes... jusqu'au jour où sa beauté se fane.

Entre-temps, son développement aura été entravé par ceux qui se sont mis en tête de la "protéger". Elle n'aura pas développé sa gentillesse, son intelligence, sa résilience, sa patience... ou les qualités basiques nécessaires pour devenir une adulte autonome et fonctionnelle.

En réalité, ce phénomène s'applique également aux personnes riches et/ou célèbres. Dans ce cas aussi, les "yes-men" sont un cadeau empoisonné.

J’ai même un exemple personnel à partager à ce sujet :

L’année dernière, je me suis retrouvée à emprunter de l’argent à mon père. À noter qu’il n’est pas mon père biologique, mais laissez-moi vous dire qu’à 38 ans, je suis toujours sa petite princesse et la prunelle de ses yeux.

Il n’empêche, cet argent ne m’a pas été donné, mais prêté. Ce qui est, selon moi, tout à fait normal : je suis une adulte en bonne santé, capable de travailler et de gagner de l’argent, il n

’y a donc pas de raisons. Mais mon meilleur ami était un peu perplexe : “Il n’a pas vraiment besoin que tu le rembourses, et tu es sa fille, et l’argent ne lui manque pas, il pourrait te le laisser…”

Mais il a poursuivi sa réflexion et en a tiré la conclusion suivante : “Il ne le fait pas pour lui, il le fait par principe de responsabilité et parce qu’il sait que cela va te motiver d’autant plus à te dépasser.”

C’est vrai. Ce n’est pas la première fois que j’emprunte – et rembourse – de l’argent à mes parents. Mon père sait très bien que la peur de le décevoir me tient debout dans les difficultés et me pousse à l’action. De plus, il considère toujours mon éducation comme sa responsabilité, et, princesse ou pas princesse, je dois être armée pour affronter l’extérieur. Ce n’est pas me rendre service que de m’“apprendre” à recevoir de l’argent sans contrepartie.

ET VOUS, COMMENT DEVRIEZ-VOUS TRAITER UNE TRÈS JOLIE FEMME?

Tout d’abord, il faut comprendre une chose fondamentale : un privilège est donné, pas volé. Si vous estimez un privilège injuste, ne l’accordez pas. Doit-on en vouloir à une femme d’être jolie et de voir sa vie plus belle ? Non ! D’une part parce que le physique est un investissement tout à fait honorable, tant en termes de santé qu’en termes d’apparence. Je dis souvent que le physique est une “carte de visite” qui demande beaucoup d’efforts, surtout passé 30 ans, mais surtout parce qu’il est de la responsabilité des hommes autour d’elle de revoir leurs critères pour donner accès à leurs ressources.

Si une femme de votre entourage se permet un comportement qui relève d’un manque de respect potentiel, et que vous ne savez pas si vous devez la confronter ou être indulgent, posez-vous cette question : “Si [insérez ici le nom d’une de vos collègues physiquement quelconque] faisait la même chose, est-ce que je laisserais passer ou prendrais-je mes distances ?” Si la réponse est “je ne laisserais pas passer”, ne laissez pas passer. Répétez l’opération s’il est question de vous demander un service. “Si je n’avais aucune chance de passer la nuit avec elle, lui rendrais-je ce service ?” Si la réponse est “non”, vous savez ce qu’il vous reste à faire.

Les hommes qui ont des relations saines avec une jolie femme ne la mettent pas sur un piédestal. Ils la traitent avec respect, mais savent aussi poser leurs limites. Car une femme-enfant qui a le désir d'évoluer cherche, consciemment ou non, un homme capable de lui servir de "boussole" quand elle-même perd le nord.

En clair, je ne vous conseille pas de vous mettre dans le sillage d'une très belle femme en attendant qu'elle comprenne par elle-même que vous méritez le respect et qu’elle se mette à genoux devant votre... valeur. Apprenez-lui comment vous traiter en faisant du respect une condition sine qua non pour bénéficier de votre "amitié/soutien/intérêt/affection/thune", etc.

Je vous conseille plutôt de l'encourager à grandir en la mettant face à ses lacunes avec bienveillance. Je ne vous recommande pas non plus d'essayer de la sauver. Et surtout, avant de vous demander si les belles femmes ont la vie facile, demandez-vous si vous ne faites pas partie de ceux qui contribuent à rendre la vie des belles femmes plus facile. Car, je le répète ici, les privilèges sont accordés, pas volés.

---

Ce texte est désormais plus fluide, avec les erreurs grammaticales corrigées.

Beaucoup de gens se plaignent du fait que les femmes semblent avoir la vie en mode "facile"... Je vais d'ores et déjà nuancer : les JOLIES femmes ont en moyenne une vie plus facile. Partons aujourd'hui dans une dissertation de type “thèse/antithèse” garantie sans namedropping de philosophe.

OUIIIIII…….

... Les belles et jeunes femmes ont la vie en mode facile...

Nous allons très froidement répondre à pourquoi c’est vrai :

1 : L’effet de Halo.

L'effet de halo est un biais cognitif qui se produit lorsque l'évaluation positive (ou négative) d'une caractéristique d'une personne, d'un objet ou d'une situation influence notre perception d'autres caractéristiques. En d'autres termes, si nous avons une impression positive sur un aspect, cela tend à améliorer notre jugement sur d'autres aspects, même s'ils ne sont pas directement liés.

**Exemple :** Si une personne est physiquement attrayante, on pourrait inconsciemment la juger plus compétente, sympathique ou intelligente, même si ces qualités ne sont pas forcément corrélées à l'apparence physique.

Le terme a été introduit par le psychologue Edward Thorndike en 1920, à partir d'études sur l'évaluation des soldats par leurs supérieurs.

- Une caractéristique dominante (comme l’apparence, la célébrité ou une première bonne impression) peut créer un "halo" autour de la personne ou de l’objet, influençant le jugement global.

- À l’inverse, l'effet de halo peut être négatif, appelé alors effet "corne du diable" (ou effet de diable), où une perception négative d'une caractéristique altère également la perception globale.

L'effet de halo est particulièrement important en marketing, recrutement ou dans les interactions sociales, car il peut biaiser les jugements.

Vous comprenez aisément comment il s’applique ici : on va prêter aux jolies femmes des qualités sans s’assurer qu’elles les détiennent.

2 : L’avantage qu’elles apportent en s’associant à vous :

C’est un fait : une jolie femme fait bonne impression dans le salon, à votre bras en soirée, ou sur le siège passager d’une belle voiture, surtout si sa robe est assortie aux sièges en cuir. Ne me regardez pas comme ça, ce n’est pas moi qui ai inventé le terme de “femme trophée”, je ne fais que rapporter les faits.

Certains hommes avec qui j’ai pu travailler ont été formels : une jolie femme à vos côtés augmente votre cote sociale. Elle est mise en avant sur Instagram à défaut de pouvoir l’être sur un CV.

La conséquence : la beauté d’une femme devient une monnaie d’échange, et par extension, sa compagnie aussi. Une femme se retrouve donc récompensée pour “être” : être belle, être intéressée, être souriante, être charmante, être un objet de convoitise. Et sur le marché de la relation, le prix de sa beauté peut varier d’un menu Best Of Big Mac sauce deluxe, à toute une vie de cours de Pilates et de smoothies au concombre. (Pour info, j’ai fait estimer mon patrimoine physique personnel : je peux m’en tirer avec un menu gourmet chez Bistrot Romain et des vacances à Jonquiera, c’pas mal). Vous qui me lisez, soyez honnête : avez-vous l’impression d’acheter la “compagnie” d’une femme quand vous l’invitez à dîner ?

À titre personnel, je considère que payer pour la compagnie ou les faveurs sexuelles d’une femme (qui n’en a pas fait son métier) est un très mauvais calcul. Car vous dépensez aussi votre temps, votre énergie, et elle est également censée apprécier vos prouesses à l’horizontale autant que vous, si elle est attirée par vous et que vous lui plaisez effectivement.

Mais pour résumer ma pensée, tant qu’il y aura des femmes qui troqueront ce qu’elles *ont* contre ce qu’une jolie femme *est*, oui, les belles femmes auront la vie plus simple…

3 : La protection dont elles bénéficient… y compris des conséquences de leurs actes.

Les séries américaines ont usé et abusé de la fameuse scène cliché de la jolie fille qui commet un excès de vitesse et qui se met à pleurer “sur commande” quand un policier lui demande des comptes. Et bien sûr, elle s’en sort sans répercussions. Et si elle ne s’en sort pas, c’est qu’elle n’est pas (ou plus) assez belle.

Dans la vraie vie, une femme mignonne peut susciter la protection en laissant entendre qu’elle n’est pas prête à affronter les obstacles qui se présentent à elle. Il lui suffit d’avouer son manque de capacité : elle ne sait pas formater son ordinateur, elle a peur des souris, sa formation en naturopathie ne lui a jusqu’ici pas apporté beaucoup de clients, ce qui la met en difficulté financière… Et si elle est suffisamment adorable, elle trouvera forcément dans son entourage un ou plusieurs hommes pour pallier ces manquements. Et c’est “normal”, direz-vous, l’instinct de protection masculine est un sentiment très naturel et en soi une excellente chose…

MAIIIIIIISSS….

C’est là que mon sens de la transition extraordinaire entre en jeu…

Parce que cette capacité à se faire épargner des conséquences de ses actions ou de ses manques de compétences est une arme à double tranchant que je considère vraiment dangereuse pour les femmes qui n’ont pas conscience des limites de celle-ci.

Mais à quel prix ? Et jusqu'à quand ?

50 % de mes élèves en sessions individuelles sont obsédés par une "femme-enfant". L'une des caractéristiques de la femme-enfant est d'avoir "sa petite cour de prétendants ou papas de substitution" à disposition, souvent avec une rotation, des intérimaires et des remplaçants.

Ainsi, mon élève, quand il est amoureux d’une femme-enfant, se sent en concurrence avec tous les hommes qui gravitent autour de celle qui l'intéresse : son cousin qui la dépanne quand elle n'a nulle part où dormir, son meilleur ami avec qui elle a couché une fois, bourrée, il y a cinq ans, son ex avec qui ils partagent la garde de leurs enfants...

De plus, mon élève est souvent tombé dans le piège de s'investir auprès de cette femme ! Il lui a rendu de nombreux services, l'a sortie de situations dans lesquelles elle s'était mise elle-même, et il se sent piégé, condamné à continuer ce rôle de chevalier servant, avec de plus en plus d'amertume et de ressentiment envers elle.

Ce type de profil peut donner à un homme l'impression désagréable que même s'il refuse de se plier à ses caprices, il y aura toujours un autre "pigeon" pour le faire...

Mais croyez-moi, en tant que "femme-enfant repentie" : aucun cadeau n'est plus empoisonné qu'une cour de "yes-men".

Car là où un entourage aimant et désintéressé ose lui montrer ses erreurs et contradictions quand c'est nécessaire, personne dans sa horde de prétendants n'osera lui dire quand elle a tort ou qu'elle commet une erreur, car cela compromettrait (selon eux) leurs chances de voir un jour ce qu'il y a sous sa petite culotte. J'ai été cette jeune femme, et croyez-moi, je n'envie pas celles qui sont prises dans ce genre de dynamique après l'âge de 28 ans. Car les hommes qui les flattent et se plient en quatre ne les respectent pas (beaucoup) plus que les "fuckboys" qui ne les rappellent jamais. Ils les voient également comme des opportunités à conquérir... (là aussi, c'est mon expérience qui parle. Dans le cadre de mon travail, je vois des hommes décrocher la lune pour des femmes dont ils ne sont pas amoureux, simplement parce qu'ils n'aiment pas perdre).

"Little did they know" que ce sont précisément les hommes francs et honnêtes, qui ne se laissent pas marcher sur les pieds, qui obtiennent ce qu'ils veulent de la part des très belles femmes.

Parce qu’une femme belle ET intelligente comprend que ce sont les "canards" qui la maintiennent dans la médiocrité et lui donnent l'impression que tout lui est dû, dans l'illusion qu'elle est une héroïne de comédie romantique qui fait tourner des têtes... jusqu'au jour où sa beauté se fane.

Entre-temps, son développement aura été entravé par ceux qui se sont mis en tête de la "protéger". Elle n'aura pas développé sa gentillesse, son intelligence, sa résilience, sa patience... ou les qualités basiques nécessaires pour devenir une adulte autonome et fonctionnelle.

En réalité, ce phénomène s'applique également aux personnes riches et/ou célèbres. Dans ce cas aussi, les "yes-men" sont un cadeau empoisonné.

J’ai même un exemple personnel à partager à ce sujet :

L’année dernière, je me suis retrouvée à emprunter de l’argent à mon père. À noter qu’il n’est pas mon père biologique, mais laissez-moi vous dire qu’à 38 ans, je suis toujours sa petite princesse et la prunelle de ses yeux.

Il n’empêche, cet argent ne m’a pas été donné, mais prêté. Ce qui est, selon moi, tout à fait normal : je suis une adulte en bonne santé, capable de travailler et de gagner de l’argent, il n

’y a donc pas de raisons. Mais mon meilleur ami était un peu perplexe : “Il n’a pas vraiment besoin que tu le rembourses, et tu es sa fille, et l’argent ne lui manque pas, il pourrait te le laisser…”

Mais il a poursuivi sa réflexion et en a tiré la conclusion suivante : “Il ne le fait pas pour lui, il le fait par principe de responsabilité et parce qu’il sait que cela va te motiver d’autant plus à te dépasser.”

C’est vrai. Ce n’est pas la première fois que j’emprunte – et rembourse – de l’argent à mes parents. Mon père sait très bien que la peur de le décevoir me tient debout dans les difficultés et me pousse à l’action. De plus, il considère toujours mon éducation comme sa responsabilité, et, princesse ou pas princesse, je dois être armée pour affronter l’extérieur. Ce n’est pas me rendre service que de m’“apprendre” à recevoir de l’argent sans contrepartie.

ET VOUS, COMMENT DEVRIEZ-VOUS TRAITER UNE TRÈS JOLIE FEMME?

Tout d’abord, il faut comprendre une chose fondamentale : un privilège est donné, pas volé. Si vous estimez un privilège injuste, ne l’accordez pas. Doit-on en vouloir à une femme d’être jolie et de voir sa vie plus belle ? Non ! D’une part parce que le physique est un investissement tout à fait honorable, tant en termes de santé qu’en termes d’apparence. Je dis souvent que le physique est une “carte de visite” qui demande beaucoup d’efforts, surtout passé 30 ans, mais surtout parce qu’il est de la responsabilité des hommes autour d’elle de revoir leurs critères pour donner accès à leurs ressources.

Si une femme de votre entourage se permet un comportement qui relève d’un manque de respect potentiel, et que vous ne savez pas si vous devez la confronter ou être indulgent, posez-vous cette question : “Si [insérez ici le nom d’une de vos collègues physiquement quelconque] faisait la même chose, est-ce que je laisserais passer ou prendrais-je mes distances ?” Si la réponse est “je ne laisserais pas passer”, ne laissez pas passer. Répétez l’opération s’il est question de vous demander un service. “Si je n’avais aucune chance de passer la nuit avec elle, lui rendrais-je ce service ?” Si la réponse est “non”, vous savez ce qu’il vous reste à faire.

Les hommes qui ont des relations saines avec une jolie femme ne la mettent pas sur un piédestal. Ils la traitent avec respect, mais savent aussi poser leurs limites. Car une femme-enfant qui a le désir d'évoluer cherche, consciemment ou non, un homme capable de lui servir de "boussole" quand elle-même perd le nord.

En clair, je ne vous conseille pas de vous mettre dans le sillage d'une très belle femme en attendant qu'elle comprenne par elle-même que vous méritez le respect et qu’elle se mette à genoux devant votre... valeur. Apprenez-lui comment vous traiter en faisant du respect une condition sine qua non pour bénéficier de votre "amitié/soutien/intérêt/affection/thune", etc.

Je vous conseille plutôt de l'encourager à grandir en la mettant face à ses lacunes avec bienveillance. Je ne vous recommande pas non plus d'essayer de la sauver. Et surtout, avant de vous demander si les belles femmes ont la vie facile, demandez-vous si vous ne faites pas partie de ceux qui contribuent à rendre la vie des belles femmes plus facile. Car, je le répète ici, les privilèges sont accordés, pas volés.

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Ce texte est désormais plus fluide, avec les erreurs grammaticales corrigées.

Beaucoup de gens se plaignent du fait que les femmes semblent avoir la vie en mode "facile"... Je vais d'ores et déjà nuancer : les JOLIES femmes ont en moyenne une vie plus facile. Partons aujourd'hui dans une dissertation de type “thèse/antithèse” garantie sans namedropping de philosophe.

OUIIIIII…….

... Les belles et jeunes femmes ont la vie en mode facile...

Nous allons très froidement répondre à pourquoi c’est vrai :

1 : L’effet de Halo.

L'effet de halo est un biais cognitif qui se produit lorsque l'évaluation positive (ou négative) d'une caractéristique d'une personne, d'un objet ou d'une situation influence notre perception d'autres caractéristiques. En d'autres termes, si nous avons une impression positive sur un aspect, cela tend à améliorer notre jugement sur d'autres aspects, même s'ils ne sont pas directement liés.

**Exemple :** Si une personne est physiquement attrayante, on pourrait inconsciemment la juger plus compétente, sympathique ou intelligente, même si ces qualités ne sont pas forcément corrélées à l'apparence physique.

Le terme a été introduit par le psychologue Edward Thorndike en 1920, à partir d'études sur l'évaluation des soldats par leurs supérieurs.

- Une caractéristique dominante (comme l’apparence, la célébrité ou une première bonne impression) peut créer un "halo" autour de la personne ou de l’objet, influençant le jugement global.

- À l’inverse, l'effet de halo peut être négatif, appelé alors effet "corne du diable" (ou effet de diable), où une perception négative d'une caractéristique altère également la perception globale.

L'effet de halo est particulièrement important en marketing, recrutement ou dans les interactions sociales, car il peut biaiser les jugements.

Vous comprenez aisément comment il s’applique ici : on va prêter aux jolies femmes des qualités sans s’assurer qu’elles les détiennent.

2 : L’avantage qu’elles apportent en s’associant à vous :

C’est un fait : une jolie femme fait bonne impression dans le salon, à votre bras en soirée, ou sur le siège passager d’une belle voiture, surtout si sa robe est assortie aux sièges en cuir. Ne me regardez pas comme ça, ce n’est pas moi qui ai inventé le terme de “femme trophée”, je ne fais que rapporter les faits.

Certains hommes avec qui j’ai pu travailler ont été formels : une jolie femme à vos côtés augmente votre cote sociale. Elle est mise en avant sur Instagram à défaut de pouvoir l’être sur un CV.

La conséquence : la beauté d’une femme devient une monnaie d’échange, et par extension, sa compagnie aussi. Une femme se retrouve donc récompensée pour “être” : être belle, être intéressée, être souriante, être charmante, être un objet de convoitise. Et sur le marché de la relation, le prix de sa beauté peut varier d’un menu Best Of Big Mac sauce deluxe, à toute une vie de cours de Pilates et de smoothies au concombre. (Pour info, j’ai fait estimer mon patrimoine physique personnel : je peux m’en tirer avec un menu gourmet chez Bistrot Romain et des vacances à Jonquiera, c’pas mal). Vous qui me lisez, soyez honnête : avez-vous l’impression d’acheter la “compagnie” d’une femme quand vous l’invitez à dîner ?

À titre personnel, je considère que payer pour la compagnie ou les faveurs sexuelles d’une femme (qui n’en a pas fait son métier) est un très mauvais calcul. Car vous dépensez aussi votre temps, votre énergie, et elle est également censée apprécier vos prouesses à l’horizontale autant que vous, si elle est attirée par vous et que vous lui plaisez effectivement.

Mais pour résumer ma pensée, tant qu’il y aura des femmes qui troqueront ce qu’elles *ont* contre ce qu’une jolie femme *est*, oui, les belles femmes auront la vie plus simple…

3 : La protection dont elles bénéficient… y compris des conséquences de leurs actes.

Les séries américaines ont usé et abusé de la fameuse scène cliché de la jolie fille qui commet un excès de vitesse et qui se met à pleurer “sur commande” quand un policier lui demande des comptes. Et bien sûr, elle s’en sort sans répercussions. Et si elle ne s’en sort pas, c’est qu’elle n’est pas (ou plus) assez belle.

Dans la vraie vie, une femme mignonne peut susciter la protection en laissant entendre qu’elle n’est pas prête à affronter les obstacles qui se présentent à elle. Il lui suffit d’avouer son manque de capacité : elle ne sait pas formater son ordinateur, elle a peur des souris, sa formation en naturopathie ne lui a jusqu’ici pas apporté beaucoup de clients, ce qui la met en difficulté financière… Et si elle est suffisamment adorable, elle trouvera forcément dans son entourage un ou plusieurs hommes pour pallier ces manquements. Et c’est “normal”, direz-vous, l’instinct de protection masculine est un sentiment très naturel et en soi une excellente chose…

MAIIIIIIISSS….

C’est là que mon sens de la transition extraordinaire entre en jeu…

Parce que cette capacité à se faire épargner des conséquences de ses actions ou de ses manques de compétences est une arme à double tranchant que je considère vraiment dangereuse pour les femmes qui n’ont pas conscience des limites de celle-ci.

Mais à quel prix ? Et jusqu'à quand ?

50 % de mes élèves en sessions individuelles sont obsédés par une "femme-enfant". L'une des caractéristiques de la femme-enfant est d'avoir "sa petite cour de prétendants ou papas de substitution" à disposition, souvent avec une rotation, des intérimaires et des remplaçants.

Ainsi, mon élève, quand il est amoureux d’une femme-enfant, se sent en concurrence avec tous les hommes qui gravitent autour de celle qui l'intéresse : son cousin qui la dépanne quand elle n'a nulle part où dormir, son meilleur ami avec qui elle a couché une fois, bourrée, il y a cinq ans, son ex avec qui ils partagent la garde de leurs enfants...

De plus, mon élève est souvent tombé dans le piège de s'investir auprès de cette femme ! Il lui a rendu de nombreux services, l'a sortie de situations dans lesquelles elle s'était mise elle-même, et il se sent piégé, condamné à continuer ce rôle de chevalier servant, avec de plus en plus d'amertume et de ressentiment envers elle.

Ce type de profil peut donner à un homme l'impression désagréable que même s'il refuse de se plier à ses caprices, il y aura toujours un autre "pigeon" pour le faire...

Mais croyez-moi, en tant que "femme-enfant repentie" : aucun cadeau n'est plus empoisonné qu'une cour de "yes-men".

Car là où un entourage aimant et désintéressé ose lui montrer ses erreurs et contradictions quand c'est nécessaire, personne dans sa horde de prétendants n'osera lui dire quand elle a tort ou qu'elle commet une erreur, car cela compromettrait (selon eux) leurs chances de voir un jour ce qu'il y a sous sa petite culotte. J'ai été cette jeune femme, et croyez-moi, je n'envie pas celles qui sont prises dans ce genre de dynamique après l'âge de 28 ans. Car les hommes qui les flattent et se plient en quatre ne les respectent pas (beaucoup) plus que les "fuckboys" qui ne les rappellent jamais. Ils les voient également comme des opportunités à conquérir... (là aussi, c'est mon expérience qui parle. Dans le cadre de mon travail, je vois des hommes décrocher la lune pour des femmes dont ils ne sont pas amoureux, simplement parce qu'ils n'aiment pas perdre).

"Little did they know" que ce sont précisément les hommes francs et honnêtes, qui ne se laissent pas marcher sur les pieds, qui obtiennent ce qu'ils veulent de la part des très belles femmes.

Parce qu’une femme belle ET intelligente comprend que ce sont les "canards" qui la maintiennent dans la médiocrité et lui donnent l'impression que tout lui est dû, dans l'illusion qu'elle est une héroïne de comédie romantique qui fait tourner des têtes... jusqu'au jour où sa beauté se fane.

Entre-temps, son développement aura été entravé par ceux qui se sont mis en tête de la "protéger". Elle n'aura pas développé sa gentillesse, son intelligence, sa résilience, sa patience... ou les qualités basiques nécessaires pour devenir une adulte autonome et fonctionnelle.

En réalité, ce phénomène s'applique également aux personnes riches et/ou célèbres. Dans ce cas aussi, les "yes-men" sont un cadeau empoisonné.

J’ai même un exemple personnel à partager à ce sujet :

L’année dernière, je me suis retrouvée à emprunter de l’argent à mon père. À noter qu’il n’est pas mon père biologique, mais laissez-moi vous dire qu’à 38 ans, je suis toujours sa petite princesse et la prunelle de ses yeux.

Il n’empêche, cet argent ne m’a pas été donné, mais prêté. Ce qui est, selon moi, tout à fait normal : je suis une adulte en bonne santé, capable de travailler et de gagner de l’argent, il n

’y a donc pas de raisons. Mais mon meilleur ami était un peu perplexe : “Il n’a pas vraiment besoin que tu le rembourses, et tu es sa fille, et l’argent ne lui manque pas, il pourrait te le laisser…”

Mais il a poursuivi sa réflexion et en a tiré la conclusion suivante : “Il ne le fait pas pour lui, il le fait par principe de responsabilité et parce qu’il sait que cela va te motiver d’autant plus à te dépasser.”

C’est vrai. Ce n’est pas la première fois que j’emprunte – et rembourse – de l’argent à mes parents. Mon père sait très bien que la peur de le décevoir me tient debout dans les difficultés et me pousse à l’action. De plus, il considère toujours mon éducation comme sa responsabilité, et, princesse ou pas princesse, je dois être armée pour affronter l’extérieur. Ce n’est pas me rendre service que de m’“apprendre” à recevoir de l’argent sans contrepartie.

ET VOUS, COMMENT DEVRIEZ-VOUS TRAITER UNE TRÈS JOLIE FEMME?

Tout d’abord, il faut comprendre une chose fondamentale : un privilège est donné, pas volé. Si vous estimez un privilège injuste, ne l’accordez pas. Doit-on en vouloir à une femme d’être jolie et de voir sa vie plus belle ? Non ! D’une part parce que le physique est un investissement tout à fait honorable, tant en termes de santé qu’en termes d’apparence. Je dis souvent que le physique est une “carte de visite” qui demande beaucoup d’efforts, surtout passé 30 ans, mais surtout parce qu’il est de la responsabilité des hommes autour d’elle de revoir leurs critères pour donner accès à leurs ressources.

Si une femme de votre entourage se permet un comportement qui relève d’un manque de respect potentiel, et que vous ne savez pas si vous devez la confronter ou être indulgent, posez-vous cette question : “Si [insérez ici le nom d’une de vos collègues physiquement quelconque] faisait la même chose, est-ce que je laisserais passer ou prendrais-je mes distances ?” Si la réponse est “je ne laisserais pas passer”, ne laissez pas passer. Répétez l’opération s’il est question de vous demander un service. “Si je n’avais aucune chance de passer la nuit avec elle, lui rendrais-je ce service ?” Si la réponse est “non”, vous savez ce qu’il vous reste à faire.

Les hommes qui ont des relations saines avec une jolie femme ne la mettent pas sur un piédestal. Ils la traitent avec respect, mais savent aussi poser leurs limites. Car une femme-enfant qui a le désir d'évoluer cherche, consciemment ou non, un homme capable de lui servir de "boussole" quand elle-même perd le nord.

En clair, je ne vous conseille pas de vous mettre dans le sillage d'une très belle femme en attendant qu'elle comprenne par elle-même que vous méritez le respect et qu’elle se mette à genoux devant votre... valeur. Apprenez-lui comment vous traiter en faisant du respect une condition sine qua non pour bénéficier de votre "amitié/soutien/intérêt/affection/thune", etc.

Je vous conseille plutôt de l'encourager à grandir en la mettant face à ses lacunes avec bienveillance. Je ne vous recommande pas non plus d'essayer de la sauver. Et surtout, avant de vous demander si les belles femmes ont la vie facile, demandez-vous si vous ne faites pas partie de ceux qui contribuent à rendre la vie des belles femmes plus facile. Car, je le répète ici, les privilèges sont accordés, pas volés.

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Ce texte est désormais plus fluide, avec les erreurs grammaticales corrigées.

LULA MORALES

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